(quelque soit la durée de l’investissement – à gauche pour 100 000€ et à droite pour 200 000€)
Le système des SCPI est soumis à des frais d’entrée qui ne portent pas leur nom : le fameux « délai de jouissance » ou « délai de carence » qui divise par deux vos revenus lors de la première année. Il s’agit donc bien de frais d’entrée équivalent à la moitié des revenus prévus sur la première année que vous ne percevrez pas. Il s’agit finalement de frais supplémentaires qui sont un pourcentage du montant investi.
Par contre, avec un investissement dans les Sociétés Immobilières en Nouvelle-Zélande, le principe de « délai de jouissance » n’existe pas. Vous commencez à percevoir vos revenus trimestriels dès la prochaine date de versement, sans délai supplémentaire. Il n’y a donc aucun frais d’entrée cachés.
(prélevé sur la première année d’investissement)
Les taux de rendement affichés par les SCPI, parfois très alléchants, sont des taux définis comme dividende brut avant prélèvements français (impôts + prélèvements sociaux) et avant prélèvement étrangers. Ces prélèvements varient selon votre situation de 30 à plus de 58% des revenus (incluant les prélèvement sociaux), ce qui impacte fortement le rendement Net Réel.
En Nouvelle-Zélande, les revenus trimestriels des SINZ sont imposés à seulement 15% et ce prélèvement est effectué à la source lors de chaque versement. Ce prélèvement à la source rend cet investissement très simple au quotidien pour les investisseurs étrangers car aucune déclaration fiscale n’est à effectuer. Cela vous permet d’obtenir des revenus passifs, net de frais et net d’impôts. Le Net Réel n’est donc ici que faiblement impacté.
(basé sur le maximum pouvant être prélevé)
De plus, dans le cadre des SCPI lorsque vous ou vos ayants droits souhaiterez revendre vos parts, il faudra trouver un repreneur qui souhaite acheter au moins le même nombre de parts que vous souhaitez revendre et à un prix convenable pour toutes les parties. Ces démarches peuvent prendre beaucoup de temps, parfois jusqu’à un an. Cela rend la revente difficile dans le cas où, par exemple, vous auriez besoin de récupérer des fonds en urgence.
Les Sociétés Immobilières en Nouvelle-Zélande permettent une revente facile et rapide, généralement sous 5 jours ouvrés. Cela permet la revente de tout ou partie de votre investissement rapidement et à tout moment, sans taxe ni surtaxe. En effet, en Nouvelle-Zélande il n’existe ni impôt sur la plus-value, ni impôt sur la succession.
Enfin, il peut être problématique de choisir d’investir dans des produits dont les actifs sont situés en France et en Europe où l’économie connait de plus en plus de difficultés. Situation illustrée, entre autres, par l’arrivée de taux d’emprunt exceptionnellement bas ou parfois même négatifs, maintenant de facto l’économie sous perfusion avant même l’arrivée de la crise du covid-19. Les bâtiments commerciaux dans lesquels les SCPI investissent sont dépendants d’une bonne économie pour garder leurs locataires.